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Bof...
Ce matin, le moral est en demie teinte. En fait, de nouveau aujourd’hui je sens que je ne suis pas dans un très bon jour. Je pense un peu trop depuis que je me suis levé, mon cerveau tourne même à plein régime, et vous vous doutez bien de quel sujet tourne en boucle. J’ai vraiment besoin de ce week-end loin de chez moi. Et justement, ce week-end a tout pour être génial (mythique comme dirait sûrement Stef) mais il a aussi tout pour être effroyable. Toujours est-il que depuis une semaine, le type en question lui disait qu’il venait ce week-end. Et mardi soir donc, je la croise sur le net et elle me dit un peu déprimée que le monsieur ne peut finalement pas venir. Nous nous téléphonons et elle m’explique qu’en plus en ce moment, elle en a un peu ras-le-bol des études et de ses amis, et qu’elle aurait bien fait un week-end à Aiton pour se détendre. Je lui explique mon état d’esprit et nous décidons alors, sur un coup de tête, de partir tous les deux dans le Sud ce week-end. Destination : Avignon. C’est exactement ce dont j’avais besoin ! Tous les deux nous retrouvons comme deux gosses au téléphone, à évoquer ce que nous pourrions faire. Et finalement, nous raccrochons. Depuis ce moment, je me suis senti bien, parce que je savais que ce week-end je serais loin de chez moi, dans un endroit très sympa que je ne connais pas, avec une fille que j’adore. De plus, une autre de mes cousines (ouais je sais j’en ai beaucoup et on est assez proches) habite là-bas et se propose de nous servir de guide ! Le programme était donc de partir ce soir, dès la sortie du boulot. Je devais passer prendre Laura à Grenoble puis mettre le cap sur ma maison de campagne : cela avait l’avantage de nous éviter une nuit de plus à l’hôtel et de nous rapprocher de la destination choisie. En plus nous avions prévu une soirée tranquille, bouteille de vin, ravioles, chicha… Bref, du bonheur. Le samedi matin, nous serions partis tôt et puis le Avignon’s tour aurait pu commencer. … … Vous avez remarqué ? J’en parle comme de quelque chose d’annulé. Parce qu’hier après-midi, coup de fil de Laura : le type dont elle s’est amourachée arrivait finalement hier soir et restait jusqu’au dimanche soir. Elle passait donc la soirée d’hier en sa compagnie, et selon comment cela s’est passé, elle passera peut-être ce soir avec lui aussi. Elle m’a pourtant assuré qu’elle ne voulait pas décommander pour ce week-end, mais qu’au pire nous ne partirions que le samedi matin. Sauf que je vois arriver gros comme une maison le raisonnement qu’elle aura. A moins que cela se passe mal entre eux (ce dont je doute) elle va se dire les choses suivantes : elle me voit la semaine prochaine pour le concert de Mika, dans trois semaines pour un week-end à Aiton, dans un mois pour un week-end à Amsterdam. Le type elle ne l’a pas vu depuis des mois, ils ne vont pas se revoir avant des mois, et il est dans sa ville pour le week-end. Le choix est tout fait. Le week-end idéal était donc à portée de main, mais j’ai peur de tomber dans le week-end lamentable. Je dois avoir sa réponse dans la journée. Mais je doute que cela soit bien positif. Et si comme je m’y attends malheureusement elle me dit non au dernier moment, je vais franchement être découragé. Je sais que je n’aurais plus envie de partir. M’être emballé et réjouit comme ça pour rien sera trop dur. J’aurais donc le choix entre rester chez moi ou aller à la campagne. La campagne peut paraître un meilleur choix mais je n’en suis même pas sûr. J’aurais toujours accès au net, et vu le temps, il n’y aura rien à faire. Sur Lyon, ça ne sera pas mieux. Je suis un peu en froid avec Clara depuis le concert de Zazie pour des raisons que j’expliquerais peut-être ici. Bref, je sens poindre le week-end passé à penser à lui, à lui, encore et toujours à lui. De coup, fatalement, mon moral d’aujourd’hui ne va pas s’arranger dans l’attente de savoir ce que je fais exactement. Mais bon, une fois de plus (depuis bientôt deux semaines) je n’ai pas d’autre choix que celui d’attendre, patiemment. Ecrit par Euan, le Vendredi 5 Octobre 2007, 08:39 dans la rubrique "Actualités".
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à 09:19