La suite... - C'est la grosse bite à Dudulle

C'est parfois impressionnant comme la perception du temps peut changer.
Depuis que j'ai commencé à bosser je ne le vois tout simplement plus passer!

Il faut dire que j'ai des journées assez pleines, je rentre chez moi vers six heures moins quart le soir, et ça ne laisse plus beaucoup de temps pour faire autre chose. Du coup, la semaine aussi passe relativement vite.

Le boulot en lui même est très chiant. J'ai toujours entendu ma mère se plaindre de son boulot, d'être sur Excel toute la journée. Je me suis juré de ne jamais faire ça et c'est pourtant exactement ce que je fais aujourd'hui.

Bon. C'est un boulot jusqu'au 2 avril, ça fait de l'expérience et des sous, c'est pas plus mal. Mais clairement je ne veux pas d'un poste pareil trop longtemps. Il n'y a qu'un jour dans la semaine où je peux faire un peu autre chose mais c'est de la valse entre une chambre froide à 5°C et une autre à -20°C.

Mais bon, les gens sont sympa. Enfin la plupart ne sont pas méchants plutôt. Heureusement dans mon bureau j'ai un rayon de soleil, une espagnole qui me fait hurler de rire chaque jour ^^

En me relisant j'ai l'impression de dire que mon boulot est affreux : ne vous y trompez pas. Je n'aime pas mon travail mais je le supporte très bien. Comme je l'ai dit je ne vois pas vraiment le temps passer.
Et puis franchement, le fait d'avoir de vrais week-end c'est le panard. Ne plus se préoccupper de devoirs ou de révisions... AAAAAHHHHH....

D'ailleurs j'en ai bien profité le week-end dernier durant lequel je suis retourné à Aiton pour Aiton 2 la revanche. Un week-end avec mes cousines Laura et Dorine ainsi que deux amies de Laura, Alexianne et Elodie. Le courant est merveilleusement bien passé entre ces deux dernières et moi-même, à tel point qu'au terme des deux jours je les ai invité dans quelques mois dans ma campagne à moi.

On a énormément rigolé, bu, fumé, mais pas que. Et c'était toujours génial. C'est bien simple, je me suis sentis bien à chaque instant à partir de vendredi 21h (heure d'arrivée) au dimanche 14h (heure du retour).
Ces filles étaient super sympas, ouvertes et intéressantes.
Une d'elle a un peu craqué sur moi, et elle m'a dit que "c'était dommage que je sois gay!".

L'histoire de ma vie quoi !

Enfin bref, vivement le prochain week-end de ce type. D'ailleurs, nous avons prévu de partir cet été une semaine dans une communauté hippy. Je me demande ce que ça donnera ^^

Bref, du temps j'en manque pour écrire ici et franchement ça me manque. Ca me donne encore plus l'impression de tourner une page. Je me rends compte qu'avec le boulot j'ai (et j'aurai) de moins en moins de temps pour blogger. Pourtant je ne veux pas que ça finisse. Mais je sais que je ne peux rien promettre. Alors comme je ne sais pas quand je reviendrais par ici je vous dit tout simplement,

A bientôt.

(Mais quand même, j'essairai d'être là une fois par semaine ^^)

PS : le titre de l'article est le titre d'une chanson paillarde qui a bien marqué le week-end à Aiton... Lol... Je précise que nous nous sommes vraiment mis dans des états de déchirement et de plane élevés...