Aujourd’hui j’ai l’impression que je vais enfin avoir un peu plus de travail que depuis la semaine dernière. C’est un soulagement parce que la journée va passer plus vite, et en même temps, c’est vraiment mal foutu parce que j’aurais bien aimé parcourir deux ou trois sites internet concernant le lieu de mon week-end. Week-end dont je reparlerais ici bientôt, car j’ai enfin trouvé ce que je vais faire et avec qui. Ca c’est pour le côté réjouissant.

Pour le côté perturbant, Ja.y est venu me parler hier soir (PILE POIL pendant les 10 minutes où j’étais pas devant mon écran forcément) simplement pour me donner l’adresse MSN de trois de ses amies qui voulaient garder contact avec moi. J’ai trouvé ça vraiment très touchant de leur part, ça m’a fait plaisir, ça prouve que j’étais vraiment apprécié par ses amis. Et puis, moi aussi je voulais garder contact, mais aller demander leur adresse faisait vraiment trop le mec qui tente tout pour rester avec son ex et tenter peut-être de le reconquérir. Je n’avais donc demandé l’adresse de personne, et ça m’a rendu heureux de voir qu’elles l’ont fait.

Par ailleurs, le paradoxe c’est que je vais sûrement plus leur parler à elles qu’à lui, lui à qui je n’ai pas parlé depuis notre mise au point du week-end dernier. Hier soir aurait pu en être l’occasion mais il faut croire que le destin en a décidé autrement et qu’il valait mieux que ça ne se fasse pas puisqu’il n’avait aucun moyen de savoir que je n’étais pas devant mon écran pendant ces 10 minutes et que c’est pourtant pile dans cet intervalle qu’il est venu.

Etant donné que les moments durant lesquels j’arrive à me détacher de lui sont de plus en plus fréquents (et même si les rechutes sont toujours très douloureuses) je commence à en avoir marre de cette position, chacun dans sa tranchée, froid mais pas méchant, attendant que l’autre fasse un pas. Avant leur représentation de ce week-end, je lui enverrais un mot d’encouragement, et on verra bien. Aujourd’hui, je n’ai plus d’illusion, ce sera un mot d’encouragement à toute l’association sincère. De là repartira peut-être le contact entre nous deux, ou peut-être pas. Qui vivra verra.